En partant ce matin, j’ai eu le temps, à Quepos, de photographier les employés qui se rendent à bicyclette au travail, munis de leur coupe-choux palmistes. J’ai également pu poser, après les avoir maintes fois croisées, les brouettes tirées habituellement par des bœufs (celle-ci manquait d’employé), alors un âne est tiré par la brouette du bœuf. J’en déduis que les choux sont d’abord déposés dans ces brouettes qui sont au champ, avant d’être transférés dans les camions. On a poursuivi notre route mais au lieu de suivre le trajet suggéré par le GPS, j’avais lu que la route 3, qui mène à San Jose voulait le coup d’œil, c’est par cette route qu’on est monté. Un restaurant a attiré notre attention … trop Wow ! Puis on s’est finalement rendu à notre AirB&B et nous sommes époustouflés. 4 $ par nuit de plus que l’Hostel ! La première photo, on voit la piscine en avant du building, et la 2ième photo, on voit notre 24ième étage. Raymond me dit qu’on peut ne pas sortir d’ici pendant 6 jours !

Au Costa Rica, l’étique veut qu’on visite un producteur de café. Celui qu’on a choisi est un produit très artisanal, qui se poursuit de père en fils. Le message que véhicule El Toledo Coffe Tour s’apparente aux messages des années 2000. « Cessons de produire à la demande des multinationales et utilisons tout ce qui est bon de notre produit ». Il faut trouver un marché pour le fruit au complet et non pas seulement utiliser le grain du café. D’ailleurs plus le café est torréfié, moins il a de saveur, moins il contient de caféine, le plus important s’envole par la cheminée, l’arôme et la caféine. Alors, il fait du vin, du mousseux, du thé de café, que nous avons goûtés… et c’est délicieux. Après la rencontre qui a duré deux heures, nous avons été visiter un Rescape Animal Zoo qui soigne les animaux blessés… quand t’aime voir des animaux, y’a moyen d’en voir.

ps : L'iguane était là de son plein gé, pas en cage.

Ouff! Aujourd’hui je lève mon verre à mon chum ! Je veux souligner le calme et l’endurance de Raymond dans la circulation des routes du Costa Rica. La première semaine a été l’adaptation de l’auto « manuel » dans des routes assez correctes mais les deux dernières semaines… chaque jour, on tourne, on vire, parfois à 270 degrés, on monte, on redescend, remonte, et c’est courant qu’en avant ce soit un camion polluant de grosse boucane noire ou encore de mobylette qui nous passe à côté, à cheval sur la ligne pointillée entre deux autos… quand ce ne sont pas des vendeurs de bouffe le matin comme le soir qui sont dans le milieu de la rue ! On a fait une sortie au Volcan Irazu.

J’avais lu : arriver tôt, c’est à ce moment que c’est le plus beau. Une heure de trajet, disait le GPS ! Partis à 5H45 (croyant l’ouverture à 7H), nous sommes arrivés tout just’ pour l’ouverture réelle à 8h, une heure dans le « trafic » de San Jose et sa banlieue, puis une heure après pour se rendre au volcan. C’est beau ! En route pour y aller, j’avais vu brouter les vaches attachées au bord de la route, alors comprenez-moi, au retour, je voulais arrêter prendre des photos, des terrains aussi qui viennent d’être ensemencés… bin y’a pas longtemps. Et ce soir encore, le magnifique soleil se couche dans le salon.

Ce n’est pas aujourd’hui que je gagnerai un concours de photos. Mais c’est la grande sortie. Un tour de ville VIP. À dire vrai, nous n’aurions jamais visité San Jose, sinon qu’avec un tour guidé. Une personne venait nous chercher au penthouse, il nous amenait à l’autobus d’où la visite du musée des arts costariciens débutait. Vous saviez que c’est Christophe-Colomb qui a découvert le Costa Rica et que le nom du pays veut dire « Côte riche » ? Ensuite s’en suit le Stade National où Raymond s’est rappelé ses prouesses (au Québec, dans le temps), nous avons vu Loïc, dans quelques années, venir s'y pratiquer tout en apprenant la langue espagnole, puis une visite au musée de l’or précolombien, un p’tit verre nous est offert (certains ne se sont pas contenté d’un).

L’autobus, toujours avec musique costaricienne, nous a amené au Marché central, les allées sont aussi colorées que parfumées. Par la suite la cathédrale et le majestueux théâtre national. Enfin, la rencontre s’est terminée avec une délicieuse cuisine costaricienne. Huit visiteurs mexicains qui avaient commencé la fête au musée de l’or et qui s’étaient acheté une bouteille de rhum, nous en ont offert. J’ai refusé le Coke dans ce si bon rhum alors une mexicaine est venue m’informer qu’il est mal vu pour une femme, au Mexique, de boire du rhum pur, son mari doit rester derrière elle pour s’assurer que tout aille bien. Après l’avoir bu, j’ai été voir le groupe pour leur montrer que je me tenais encore debout et qu’elles devraient aussi goûter le bon rhum. À la fin du souper, ensemble, elles sont venues me rejoindre et certaines avaient un rhum pur dans leur verre, nous avons fait l’accolade, tous les gars avaient un appareil photo en main.

RostiPollos, Rosti, comme Rôtisserie... Pollos, comme Poulet. Et y’a des RostiPollos Express, c’est une chaîne, comme ‘’Rôtisserie St-Hubert’’ que j’aime… vous le savez. Tout en faisant un tour d’auto, c’est dimanche, pour aller voir l’Autopista Braulio Carillo qui m’a, soit dit en passant, désappointée, (la 112 just’ à côté me parlait beaucoup plus avec ses petites maisons privées de chaque côté de la rue)… mais aller dîner chez St-Hubert, un dimanche midi, peut-on demander mieux ? Impossible d’oublier que la St-Valentin arrive bientôt. J’ai commandé une cuisse et Raymond, des ailes. Hier, j’ai passé sous silence l’achat d’un instrument très utile, servant à transporter carte de crédit, $$, lentille d’appareil photo en plus de l’appareil, un p’tit bijou, trois fermetures-éclairs. Assez grand pour que je puisse traîner qu'un sac.

On dort les fenêtres ouvertes, il faut alors laisser les stores ouverts aussi, sinon, ils cognent sur les fenêtres à cause du vent. À longueur de maison, les fenêtres occupent les murs à pleine hauteur, du sol au plafond et Raymond est impressionné d’ouvrir ses yeux et d’y voir la ville, même couché dans son lit. Lundi, dernière journée complète dans l’édifice « Ü Nunciatura ». Air B&B écrivait Luxueux Penthouse, au 24ième étage, à San Jose et c’était vrai ! Mardi, on prend la route vers Puerto Viejo de Talamanca. De la fenêtre, si je regarde en bas, je vois notre piscine. Et dans le garage, nous remarquons que des espaces à deux étages sont disponibles pour les couples possédant chacun une auto. Aujourd’hui, lundi, nous avons arrêté l’ascenseur au 3ième étage de la bâtisse pour voir les activités, les espaces communs, la piscine. Nous restons dans l’immeuble pour profiter de notre vie de pacha. Les hirondelles nous frôlaient tout au long de la baignade.

A 8H45 ce matin nous quittions San Jose pour nous rendre à la Casa Moabi, du Puerto Viejo, 220 km., 4H15.

Nous prenions la même Autopista Braulio Carillo et c’est après le parc Braulio que la route est la plus belle, jusqu’à Guapiles. Les arbres en arrivent presqu’à se toucher d’un côté et de l’autre de la rue.

Vous croyez vraiment que le restaurant réussira à vendre toutes les bananes et oignons suspendus au toit ?

À partir de Guapiles, les travaux sont en cours pour doubler la route jusqu’à Cahuita, et c’est de là aussi que nous avons remarqué les plantations de bananes (les sacs bleus servent à protéger les bananes).

Incroyable la quantité de camions sur cette route et parmi eux, les noms « Dole » et « Del Monte » sont souvent inscrits.

Une heure avant notre arrivée, à 50 km. de la Casa nous avons vu la mer des Caraïbes et nous la longeons jusqu’à notre demeure de la semaine à venir. On entend les singes hurleurs, j’ai vu des colibris et un toucan mais… demain les photos !

L’environnement de la Casa Moabi est SUPER et la casa une très bonne note sur Trivago (4.3 sur 5) et une trop bonne sur Google Maps (4,8). Les proprios, supers sympathiques, sont des canadiens installés ici depuis 18 mois. Mais, je ne pourrai pas leur offrir une note équivalente. Les 3 ou 4 frigos de la cuisine n’ont sûrement pas été nettoyés une seule fois depuis qu’ils sont ici et il y a un gros chien qui a très certainement des puces puisque j’ai les jambes piquées au sang depuis que je suis ici. C’est un « 13 » aujourd’hui, une chance que ce n’est pas vendredi en pluss. Nous allions visiter le Jaguar Rescue Center, visite en français… le jeudi, pas aujourd’hui. On va attendre. On a plutôt choisi le Caribean, tour de chocolat… pas de tour le mercredi, on ira vendredi alors. Nous sommes donc revenus à la Casa Moabi, les premières photos sont celles de notre casa, 4 chambres, deux d’un côté, deux de l’autre, nous sommes la porte ouverte. Ce site contient plus qu’une maison et après les photos de fleurs et de bananiers de la place (il y a plus d’une sorte de bananiers, les roses, queues en l’air, ne se mangent pas, beaucoup trop de pépins et amères) vous verrez une maison typiquement costaricienne. Elle est construite sur deux étages, ouverte complètement, le premier étage est réservé à la cuisine, salle à manger, salle de repos, l’escalier mène au deuxième, ce sont les chambres, il y a même un escalier pour un aire de repos au troisième étage. Par quelle chance, aie-je vu ensuite un oiseau exotique du Costa Rica https://www.istockphoto.com/.../oropendola-de-montezuma..., ainsi que des singes hurleurs et des toucans à collier aracari ? Je ne suis que très chanceuse. Tout ça sur le terrain de la Casa Moabi. Mais avez-vous déjà entendu des singes hurler ? C’est… terrifiant ! C’est comme une meute de chiens enragés qui courent pour attraper quelqu’un !

Ouais bin ! Je dois me rétracter ! C'est toute cette partie du Costa Rica qui est infestée. Je voyais les employés de restaurant mettre du spray par terre. Il y a des puces partout ! Ce matin, j'étais au Jaguar Rescue et je me suis autant fait manger les jambes. Elles brulent ! Une chance que Raymond avait apporté du Watkins, je vais tenter de me protéger.

Il n’y avait pas de jaguar mais surtout des paresseux. Ils sont tellement lents qu’ils ont besoin d’être protégés je suppose. En revenant, nous avons vu des chevaux en liberté dans le champ, hier ils étaient dans le milieu de la rue.

Ensuite à 15h, on est allés voir un site de protection des aras. L’espèce devenait de plus en plus rare dans la région, une biologiste a pris soin de la reproduction de l’espèce.

Aujourd’hui plusieurs bénévoles poursuivent son œuvre.

Aujourd’hui, on allait mettre de l’essence à l’auto, on est allé au village. Pas d’essence ! On a dû se rendre jusqu’à Cahuita avant de trouver une station-service. Alors tant qu’à y être, on s’est rendu au parc national pour planifier notre baignade à la mer du lendemain. Puis, au retour, on a décidé de faire un ‘’Tour de chocolat’’. Très intéressant. Il y aura plusieurs photos parce que je ne saurais pas lesquelles enlever. D’abord j’ai présumé que l’arbre que je voyais en était un avec le fruit contenant le chocolat… et j’avais raison. Il ne nous l’a pas dit au départ mais j’ai bien vu. En montant, il nous a montré plusieurs sortes d’arbres à fruits qu’il possède sur son terrain… ananas, pamplemousse, un fruit de pin (pain), je ne sais trop (pane fruit), épice : piment tout tout petit, très fort, (il en met dans certains de ses chocolats). Puis il est arrivé aux premiers arbres de chocolat qui sont en friche, personne ne s’en occupe et malheureusement, ils sont facilement attaqués par un champignon. D’ailleurs la très grande production de chocolat a été abandonnée dans les années 70, lorsque les multinationales ont réclamé plus de bananes et d’ananas. Il nous explique qu’il y a plus qu’un fruit de chocolat, que des croisements se produisent et qu’il ne fait aucune distinction dans son processus de production entre les essences de chocolat. On en voit un rouge, un jaune, les deux sont mûrs. Il cogne le fruit sur un arbre pour l’ouvrir et curieusement, le blanc à l’intérieur est plutôt sucré alors que la noix est très amère. On continue de monter pour arriver à ses arbres, ce n’est pas la saison de production, c’est plutôt de octobre à décembre. Il nous explique que les résidus font un excellent compost, très recherché. Sur son site de production il a aussi des limes et de nombreuses fleurs que je ne vous montrerai pas. Un premier temps dans une boîte ouverte permet aux fruits de sécher, ensuite il les développe et met les fèves de cacao à sécher pendant une semaine. Alors il les cuit, une demi-heure à une heure (dépendant de l’humidité et de la quantité). Lorsque prêt, ils sont écossés, c’est-à-dire d’abord écrasés, puis passés au ventilateur puisque la cosse est plus légère que le chocolat. Une quantité équivalente de sucre de canne brut est caramélisée et versée dans le chocolat qui a été broyé après avoir été écossé. Il obtient un délicieux chocolat 50% que nous avons goûté. Pour faire une tablette de chocolat (100% pur), le procédé est différent, je dirais qu’il est baratté pendant trois heures de temps parce qu’il ne peut pas mettre d’eau à ce processus. Finalement, il nous a offert son produit chocolat sucré (50%), tel quel ou encore à l’orange, à la menthe, au café, vanille, poivré, au chocolat pur, donc équivalent à 70 %.

Les projets dans la région étaient de visiter le parc national Cahuita et Le refuge national de Gandoca-Manzanillo avant lundi. Nous devions y retrouver des oiseaux, paresseux, tortues, grenouilles venimeuses. Mais le dos de Raymond ne s’améliorant pas, il sera impossible de marcher ces deux endroits qui ne sont accessibles qu’à pied.

Le flair de Raymond a plutôt penché du côté de la baignade dans la mer des Caraïbes, un environnement plutôt désert que grouillant, surpeuplé. …

L’endroit est tout aussi parfait que celui qu’il avait découvert à Estérillos… Juste avant l’entrée du Refuge, tranquille à souhait, un naufrage à quelques 150 mètres, le meilleur endroit pour la plongée-tuba, la journée était « super » au point que nous recommençons pour une deuxième journée. L’autre côté de la rue, nous trouvons notre repas cuit au charcoal, poulet avec quartier d’ananas et banane entière (la peau non enlevée).

Deuxième journée à la plage. Je vous laisse voir mes prises d’oiseaux en photo. Le pic a mis beaucoup de temps à se montrer, je pensais même pour plusieurs minutes qu’il s’agissait d’un nid d’oiseau, jusqu’à se qu’il déploie ses ailes. Peu avant midi, une quarantaine de personnes sont arrivés fêtant l’une des leurs sur la plage. Et eux, comme énormément d’autres, y sont allés à qui mieux mieux de selfie en selfie, nous influençant tellement qu’il nous a paru impossible de sortir de la région sans avoir nos propres selfies. Raymond a même sorti son téléphone pour prendre le sien, son selfie. Adios Manzanillo ! Lundi nous retournons à San Jose en prévision de notre départ pour Tortuguero mardi matin à 5H30, autobus et bateau. Un paresseux est lui aussi venu nous dire « Au revoir », à la Casa Moabi, à l’heure du souper.

On aqpprécie tellement le Costa Rica … surtout quand on reçoit des photos de la maison !

Finalement nous partons pour Tortuguero, une navette nous a amenés au « badaboumBus » comme l’appelait le jeune de deux ans qui était avec nous tellement ça brassait. Et nous nous sommes rendus au petit village Cano Blanco pour prendre le bateau du ‘Turtle Beach Lodge’ afin de nous rendre à leur hotel. Le paysage est luxuriant. Tiens, j’ai enfin vu une grenouille aux yeux rouge ! Et une iguane, notre hôtel, un lézard, des singes, la mer à nos pieds, la piscine en forme de tortue et la salle à manger, ce sera des buffets pendant deux jours Y’a tout ce qu’il faut pour que nous passions un heureux séjour !

Quelle matinée magnifique.

Partis à 6H. pour explorer les marais de Tortuguero, nous avions un guide mais surtout le chauffeur du bateau. Il voyait TOUT, c’est lui qui à chaque fois, arrêtait le bateau pour dire où regarder… nous surprendre. Le marais, quelques oiseaux, un râle à grand cou, un caïman ( le + petit crocodile), la petite tête de tortue si bien camouflée tout près du caïman, des chauves-souris (4 petites bulles sous une branche d’arbre), voyez leurs pattes, puis 3, 2 et 4 chauve-souris (voir leur petit museau) leurs pattes aussi, l’iguane basilic vert (basiliscus plumifrons), il trouve des oiseaux tellement bien camouflés ! Puis un bateau qui est à son retour d’expédition comme nous le serons bientôt… à pleine vitesse. Le toucan de Swainson… il voit même ce petit oiseau camouflé dans les branches, le singe ! Il pose pour nous de longues minutes. L’anhinga, un autre beau camouflage : . et le balbuzard, oiseau canadien qui immigre lorsqu’arrive le froid. Et finalement, à grande vitesse, à notre retour, un martin pêcheur nous guidait… toujours devant. Fascinant !

Le soir, je suis allée en bateau avec quelques-unes des personnes intéressées… la tranquillité, l’éclairage de pleine lune, le silence, c’était super ! Mais pour les photos, on repassera, il ne fallait pas utiliser le ‘flash’ donc… un nid de p’tit colibri, (voyez au moins sa p’tit’ queue, vous verrez ensuite ses yeux, puis son nid), une espèce de petit martin-pêcheur, une grenouille, c’est tout ce que j’ai réussi à garder des 100 photos que j’avais prises. Le lendemain, c’est le retour. Au lever deux chauves-souris étaient au dessus de notre porte pour nous dire au revoir. Un caïman nous attendait au bateau, l’équipe se prépare pour le départ. On repasse et on arrête pour prendre en photo le nid de colibri… je manque encore mon coup ! Puis dans le deux heures de voyage en bateau, on s’est arrêté pour regarder nager un singe qui a sûrement traversé la rivière, il lui en restait le tiers à nager. Même le chauffeur de bateau a filmé la scène jusqu’à ce que le singe grimpe un arbre. Enfin nous arrivons au port de Cano Blanca pour prendre le bus qui nous conduira à Guapiles où nous attendra l’auto qui nous sera très utile pour nos prochains 20 jours. Deux heures de route en bus, une heure dans les chemins de gravier où nous traversons les champs d’ananas de Dole et Del Monte mais surtout les champs de bananes de Chiquita qui d’ailleurs a une usine sur place. Rio Celeste… j’en ai le souffle coupé lorsque je m’approche de notre prochaine destination, le volcan Tenorio est en vue !

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