2019 - Le Costa Rica

19-01-2019 : Vous savez qu’on a quitté le Québec à -25 C., samedi dans la nuit, c’est Marcel Auger qui est venu nous chercher à St-Donat à 1H30, Gros mercis Marcel ! L’avion quittait Dorval à 6H40 et nous sommes arrivés au Costa Rica à 12H15, heure du Costa Rica (une heure plus tôt qu’au Québec) vous auriez cru que nous arrivions à 13H15. Déjà dans l’avion nous étions très impressionnés mais aussi très fatigués. Alors, un peu de piscine, un souper léger et à notre 21H00, nous étions couchés.

20-01-2019 : Voilà, on rentre à la Casas. Ce matin, Vert Costa Rica, une entreprise de tourisme qui prend bien soin des francophones, nous a expliqué les activités de notre séjour et s’est assuré de la livraison de l’auto, une manuelle. Il a fallu s’adapter ;-( puis nous avions 4H30 de route à faire. Je n’ai pas rentré la bonne Casa Pelicano dans Google Maps, alors après être partis de San José à 10H30, réussir à trouver un guichet pour avoir des « colones » 600 colones = 1$ US. Quand on passait les postes de péages, c’est 440 colones ou 1$ US, on a bien compris qu’il est préférable d’avoir nos « colones ».

On a arrêté pour acheter un melon pour souper. Puis à 16H30, nous arrivions au mauvais Casas Pelicano, c’est alors que quelqu’un de gentil nous a rentré son code internet, il a trouvé le numéro de téléphone de notre casas, il les a appelé, et il a rentré dans ma tablette, le bon casas Pelicano de Playa Junquillas. Nous sommes arrivés, à la noirceur, bin fatigués. Notre consolation : La Casa est superbe ! Wow !

ps : En se réveillant, ce matin : 3ième photo, de notre casa à la mer, 4ième photo, de retour à la casa, 5ième photo, notre bord de l’eau

21-01-2019 On lit partout qu’au Costa Rica, il est préférable de louer un 4X4. En tout cas la Camry n’aurait pas apprécié le dernier demi-kilomètre.

Un trou, une bosse, je comprends que c’est pour éviter les inondations mais, ouf ! j’apprécie la hauteur du Jimmy.

Rendus à la Casas Pelicano, le chemin est semblable, (vous voyez les roues d’auto et notre casa verte tout au fond), c’est le chemin privé pour se rendre chez-nous… puis on arrive par le côté de la maison

22-01-2019 Déjà la dernière nuit de notre location à Casas Pelicano.

En soupant, Raymond et moi nous sommes dits qu’il est peu probable qu’on retrouve un endroit aussi merveilleux.

Les vagues cependant sont beaucoup trop fortes, on a préféré la piscine. Les voisins, qui occupent la 2ième casa nous ont avoué être venus en quatre occasions au Costa Rica, que c’est leur 2ième location ici parce qu’ils n’ont jamais trouvé mieux.

Et puis le riz… le riz, nous n’en avons jamais mangé du « aussi bon » !

22-01-2019 On n’a pas encore vraiment sorti pour voir les animaux du Costa Rica mais il y a… des iguanes sur le toit, des chauves-souris dans nos moustiquaires, des pélicans au bord de l’eau… avec les vagues trop fortes pour avoir le goût de s’y baigner.

On ne reste pas assez longtemps pour voir les bébés tortues (récupérés à la ponte) qui sont protégés dans un enclos. Chaque jour, ils viennent voir s’il y a naissance, si « oui », ils les amènent au bord de l’eau pour leur faciliter la tâche. Il y a eu relâchement avant-hier, nous ne l’avions pas su ;-(

Y’en aura d’autres très bientôt, www.verdiazulcr.org est l’organisme, les dates de relâchement (probable) y sont inscrites.

Enfin ! Je retrouve mon Québec des années "50" où à St-Sauveur on marchait en groupe de 10, dans la rue, le soir et c'était les automobilistes qui devaient patienter. Les chiens errants qui traversent les rues n'importe où, Les bicyclettes qui passent à côté, les "Hola" à tour de bras. La vraie vie quoi ! Je sais déjà pourquoi les gens aiment le Costa Rica — (nostalgique).

24-01-2019 Un paysan décapuchonnait les cocos, versait le jus dans un contenant, j’ai été le photographier. Il est venu nous porter deux cocos à boire... puis un troisième, en faisant une cuillère d’un de ceux que nous avions bu et il nous a fait comprendre de ramasser l’intérieur du coco et de le manger. C’est pas ça, la vraie vie ?

Parce qu’il en avait la curiosité, Raymond a été voir sur Internet, la latitude : 9.8 et longitude : -85, au Costa Rica par rapport à celles à St-Donat... latitude 47 longitude -72. À l’équateur, on est à 0 de latitude et en Angleterre 0 de longitude...

C’est pas drôle vieillir, hier soir je pensais aller en bateau, faire un Turtle Nesting Tour. Bin non ! C’était à pied… en longeant la playa Camaronal mais il n’y a pas eu de mère pondeuse. Cependant, nous avons vu la mise à l’eau de bébés tortues, 78. Dans la région de Samara, c’est le Wildlife Refuge of Camaronal qui protège les œufs de tortues. On a appris que c’est la chaleur du sable qui détermine le sexe des tortues. À moins de 28 C., ce sont des tortues males qui naissent, à + 30C., ce sont des femelles et entre 28C. et 30C., c’est moitié male, moitié femelle. La mise-à-l’eau n’a pas été une réussite, normalement en moins de 5 minutes les tortues auraient dû être rendues, hier notre guide était déçu de voir qu’après une demi-heure, aucune n’y était parvenue. Il blâme le manque d’expérience des bénévoles ayant mené l’expérience… ils ont permis que des lumières viennent de tout côté, ce qui, à sa connaissance, a embrouillé la piste de leur réussite. Il les a avisés mais il était trop tard, le mal était fait.

Je ne vous ai pas encore parlé « lunch » et pourtant… nous sommes choyés. Je confirme que les recherche Google « restaurant », c’est à pratiquer, les résultats sont incontestables à date.

Petits restos avec légumes frais, poisson du jour, c’est bon, on ne peut pas sans passer.

Aujourd’hui, El Tigre Verde, cote 4,8 sur 5.

Il fallait y aller, 2 bières, chacun un repas, taxes et pourboires, 28 $, peut-on demander mieux quand le repas est EXCELLENT ?

Avant-hier, Soda LaPerla une cote 4,2 sur 5, Raymond avait le goût de repartir avant d’entrer mais je me suis fier à la cote… bon !

Après y avoir mangé, il aurait voulu retourné à la même place aujourd’hui.

Et notre hôtel Sol Samara, à l’arrivée, on voit le potager, les poules, et les déjeuners sont costaricains, américain ou continental… à notre choix. Vraiment nous en profitons !

Nous quittons Sol Samara pour Manuel Antonio, j’ai loué pour 11 jours le prochain hôtel. Le chemin, par le GPS, pour s’y rendre (il faut être passé par Playa Junquillal pour croire que c’est la vraie route) le chemin est plutôt inhabituel, voir la photo. Les hôtels se suivent mais ne se ressemblent pas. Je ne savais pas lorsque j’ai loué, à bonne cote et bon prix, que je louais dans une « Auberge de jeunesse ». Un gars d’une trentaine d’année a dit à Raymond, « J’étais l’aîné, maintenant j’ai pluss ma place ». Au déjeuner ce matin, un autre gars de la Saskatchewan est aussi vieux , ça me console. Il vient tous les ans à cette Auberge et voit souvent des singes-araignées. Nous n’avons rien vu à ce jour. La cuisine est à aire ouverte avec l’extérieur et la vue peut y être fantastique. Bon ! On va quand même aller explorer les alentours. Bonne journée !

Convenons-en ! Je ne peux pas m’offrir d’hôtel à 200 $ Us / la nuit… j’en ai trouvé un à très bon prix. Mais il m’est possible de manger à cet hotel ! Alors ce matin on est partis dans Quepos, et 40 km. plus loin, on a longé la playa Esterillos Oeste Beach, il y avait une iguane.

A l’heure du dîner, j’ai cherché le meilleur resto, c’est près de notre logement qu’il nous a ramené… on est en vacances, c’est quoi faire de la route ! C’est chez Falls Garden Restaurant que Google m’a amené. C’était un hotel plusieurs étoiles et le resto 5 étoiles. On a mangé un poisson entier pêché le matin. C’est un délice ! Et le serveur… ses yeux ! Fiout Fiout ! Revenus à notre lieu de location, une belle iguane nous y attendait.

Ouf ! La playa Manual Antonio n’a pas été la préférée de Raymond, j’ai même dû négocier avec lui pour qu’on aille visiter le Parc Manuel Antonio demain. Il a été tellement désappointé de voir des quêteux l’obliger à débourser 3,000 colones (7.50$) pour stationner l’auto 2 h., et encore se sentir obligé de louer une chaise, 4,000 colonnes (presque 10.$ pour 2 h.), et encore si c’était tout, Non ! Aux 15 minutes, quelqu’un vient t’offrir, des cigares, des châles, des glaces… et toutes ces activités de location encore sur cette même plage. Non merci ! Non merci ! NON ! Nous ne reviendrons pas à cette plage bondée de touristes qui semblent s’y plaire. Mais ! J’ai appris que le reptile que j’ai photographié n’est pas une iguane. Cette dernière a la crinière longue. C’est plutôt un lézard, un ctenosaure, ils n’ont pas les épines et la crête de tête caractéristiques à l’iguane. Rien, sauf les vachers.

À notre entrée, à 7H00 pile, au Parc Manual Antonio, un guide partait avec un groupe et leur expliquait que tout la haut, il y a un paresseux, il les reconnait à leur couleur. Ouais ben ! À 12 mètres de haut… je ne l’aurais pas parié. Alors nous les avons laissés parler « paresseux » et nous avons avancé. Deux petites biches ont passé, j’ai eu le temps d’en photographier une… Cette fleur est bien aimée du colibri mais le serpent ratoureur est parfois caché tout près pour s’accaparer du colibri. On a marché comme ça jusqu’à la mer photographiant chaque bibitte, s’imaginant après deux heures qu’on ne verrait pas grand-chose de plus. Un p’tit jeune nous a même dépassés, dans le sable, avec le lunch de la familia à prendre au bord de la mer… il est courageux. Ils ont construit une splendide tour mais ils n’ébranchent pas alors rendu en haut, impossible de voir au large. On n’est pas des experts mais on pense que si nous avions fait notre sortie Turtle nesting tour hier, dans le Parc Manuel Antonio, nous aurions vu la ponte d’œufs de tortue. Ce ne sont pas des traces de quatre roues, je vous en assure. Et là, on commence le chemin du retour.

Il y a des guides aux quart de pouces, qui eux ont commencé leur tournée après nous, alors partout sur le retour où il y avait attroupement, nous avions la chance de voir les paresseux, les singes à face blanche, un serpent… le crabe et la grenouille verte, je ne les voyais même pas, ce sont deux guides qui ont eux-mêmes pris la photo ! De retour à l’Auberge, notre ctenosaure nous attendait. Karine et Laurence vous aviez bien raison. C'est super !

Aujourd’hui nous descendions presqu’à la frontière du Panama, au Parc National Piedras Blancas, Secteur Bonito, parce qu’il est un de ceux les moins visité (car éloigné des circuits touristiques habituels). Mais c’est très dommage car après Corcovado, il reste un des endroits du monde encore privilégiés et dont l’exubérance naturelle à elle seule mérite le voyage. Voilà ce que j’avais lu et je voulais voir… et c’est vrai.

Nous avions 3 h. de route à faire, on s’est un peu écarté, on a voulu manger alors il était bien midi à notre arrivée, nous devions repartir à 14H pour s’assurer de conduire de clarté. Je vous assure que si nous revenons au Costa Rica, nous resterons un mois dans cette formidable région. La route à elle seule valait qu’on s’y rende.

Puis, se cherchant, Raymond a embarqué sur la piste d’avion de Golfito, la barrière ayant été laissé ouverte parce qu’un avion arrivait et débarquait des passagers. Raymond s’en est vite rendu compte et il a eu le temps de libérer la place pour laisser atterrir l’avion.

Rendu au parc national, le responsable nous a précisé qu’il était préférable d’arriver tôt pour voir les oiseaux… mais quand même, j’ai été bien surprise d’en voir et d’en entendre tout le temps qu’on a été là.

J’ai encore mangé une maudite bonne soupe aux fruits de mer et nous sommes revenus. Arrivés à la maison, bin fatigués des routes de terre, devant une bière, je n’ai pas eu le temps de décrocher l’appareil photo pour prendre les 5-6 aras qui ont volé au dessus de nos têtes.

Une question : Vous souvenez-vous du temps où l’humain pouvait pêcher son poisson du repas suivant sans devoir courir un permis pour donner un peu plus d’argent au gouvernement ? Bin au Costa Rica, cette liberté existe encore !

Journée relâche aujourd'hui ! Farniente ! A+ On se sent très bien.

En étant ici hier, on a jasé avec des personnes ayant visité le parc national Carara sans guide, ils nous ont dit n’avoir rien vu.

Alors, nous avons planifié y aller puisqu’il y a plein de petits « à côté » intéressants et on va utiliser les services d’un guide. En arrivant et à la sortie du parc, il y avait des lézards, puis plein d’oiseaux et de singes. D’abord, il est intéressant de savoir qu’à Quepos et les environs, il y a des palmiers, des palmiers sur 30 km. de chaque côté de la route, sans savoir de quelle profondeur il peut y en avoir… à perte de vue. Sur le chemin, il y a des choux palmistes, plein l’arrière des camions, qui servent à fournir l’huile de palme. Le camion qu’on a vu entrait à l’usine, pour faire peser sa charge.

Le parc Carara est près de la rivière Tarcoles. Pour la traverser, on passe un pont sur la route principale, c’est le « Crocodile bridge », et quand on a précisé que ce doit être des alligators, la réponse était claire « Non, ce sont vraiment de dangereux crocodiles ». Étant sur la 34, de retour de notre activité, j’avais lu que le bord de l’eau et la Playa Hermosa valait de s’y arrêter. C’est vrai, mais pas pour se baigner, les vagues y sont trop dangereuses. À la même plage où nous avions été en début de semaine, l’eau était chaude, les vagues énormes, nous nous sommes baignés. Finalement nous sommes rentrés à l’Auberge. De ma fenêtre, pendant que je transférais et corrigeais les photos, de beaux petits oiseaux avec du rouge aux épaules ou au ventre, sans être des carouges, sont venus nous saluer, puis le même iguane c’est aussi présenté à la fenêtre et plus tard, en prenant une bière trois aras ont passé au dessus de nos têtes. Pura vida !

Une autre petite journée remplissage du portefeuille de colones, remplissage d’essence à l’auto, remplissage du frigo pour manger quelques jours, remplissage de bedon au restaurant… et pourquoi ne pas vous montrer cet Hostel que Raymond aurait déserté s’il n’avait pas fallu payer deux semaines avant d’y arriver…

et notre Jimmy, le p’tit gris. C’est lui qui nous monte tout en haut de la montagne où est situé l’Hostel Manuel Antonio. Just’ avant d’entrer dans la cour, y’a une bonne côte (y’en a plusieurs avant celle-là aussi), une grande courbe et Raymond doit descendre en deuxième ou même occasionnellement en première pour s’y rendre. J’ai mal au ventre just’ à vous l’écrire.

Les habitudes sont drôles au Costa Rica, tu reviens d’acheter ton gâteau à vélo, tu vends dans les emplacements de stationnements pour auto, les restos te rappellent que la vie est belle. Y’a des marchands de fruits à tous les coins de rue, c’est lui qui m’a vendu le melon et l’ananas, 2,750 colones (6$ Can.). Revenons à l’Hostel, celui-ci occupe les deux étages du bas, la cuisine est tout en arrière, le reste du premier étage est occupé par des dortoirs de 8 personnes, sans air climatisé. Nos chambres sont au deuxième, avec air climatisé, dernière porte du mur plus jaune. Les deux étages plus hauts sont occupés par un bar dont l’entrée est par la rue avant. Ça ne ressemble en rien aux photos de Booking.com

03-02-2019 Aujourd’hui, c’est une randonnée d’auto. Vous savez, j’ai mal au ventre à monter le 175 mètres en auto pour se rendre à notre hostel.

Bin ! aujourd’hui, c’est à 3,491 mètres qu’on va se rendre. Le Cerro de la Muerte (mont de la mort), est une colline qui fait partie de la cordillère de Talamanca, la température ne dépasse jamais les 12 C., c’est ce qu’on a lu. Alors bas chaud, bon soulier, chandail long en main, on part en auto. Au niveau de la mer, on voit très peu de fleurs mais rendu à 750 mètres d’altitude, les arbres fleuris couleur orange sont magnifiques. On continue à monter, les nuages sont plus bas que nous, ce sont maintenant des fleurs jaunes qu’on voit lorsqu’on est à 2,000 mètres. Finalement, on arrive au plus haut point en auto, à 2,750 mètres, ensuite le mont doit se faire à pied. Le mont où il y a un arbre par-dessus, vous verrez de petits points blancs au centre, ce sont les courageux qui montent à pied. Nous allions voir le quetzal dans la parc national Los Quetzales, mais à notre arrivée, il était midi, le quetzale est un oiseau nocturne. On n’a pas perdu de temps, on ne l’a pas vu et on est revenu.

À environ 1,750 mètres j’ai revu ces beaux arbres orange. J’ai oublié de vous dire : La température n’a jamais été sous les + 25C. Lundi, c’est la mer toute la journée, sans appareil photo.

Une amie m'écrit : "J'ai adhéré à un groupe les voyageurs du monde et voici un commentaire d'une femme qui séjourne au Costa Rica. Pas pour vous faire peur mais être vigilants.

Salut à tous! Je voulais seulement vous conseiller de ne JAMAIS rien laisser dans une voiture. Ils ont forcé la serrure et ont tout volé... Par la suite j'ai entendue nombreuses histoires similaires dans différentes régions de ce beau pays. De plus, à l'ambassade du Canada, j'ai lue dans le livre de registre de visiteur que ça semble arriver au moins chaque semaine (et ce juste des canadiens! ) alors je n'imagine pas a quel point ca arrive aux voyageurs de partout dans le monde. Bref traînez vos bagages avec vous.

C'est Vrai, tellement vrai que nous avons réservé notre auto avec l'équipe "Vert Costa Rica", lui, Vincent Varennes est un français qui est tombé en amour avec une costaricaine et il vit maintenant ici. Il a créé une entreprise qui aide les francophones à se comprendre au Costa Rica. Il a tellement insisté à nous répéter de toujours aller porter nos bagages d'un hotel à l'autre et de ne JAMAIS laissé l'auto sans surveillance, même pas 30 secondes, il a tellement insisté, que nous avons compris. Il nous a même été suggéré de stationner l'auto où on pourra la voir en tout temps si on arrête pour manger à un resto… et c'est le contenu de l'auto qui est visé tout le temps

C’est notre dernière journée sur la côte du Pacifique. Mercredi, on monte à San Jose pour une semaine.

Nous avons donc été nous baigner, puisque nous n’en aurons plus la chance, c’est au parc national des baleines qu’on s’est rendu… bien sur, pour voir la queue de baleine à marée basse au bout du parc. Bin oui, toé, sur le sol des vaches, voir la queue de baleine !

J’aurais voulu avoir un drone et photographier du haut des airs puisqu’il n’y a pas d’observatoire et que c’est l’activité du moment.

Oui, j’aurais pu voir des baleines mais à marée basse, c’est nul, mon chien est mort.

Puis Vert, Costa Rica m’a précisé que ce n’est pas la saison des baleines, inutile de prendre le bateau. Un ara nous a reçus gentiment par la queue.

Puis ce sont les petits crabes qui se tenaient bien près de leur petit trou.

Au retour, les aras ont été plus enjoués, ils mangeaient et nous lançaient les restes de lunch sur la tête.

Finalement, un p’tit drink avant le dîner, puis un lavage d’auto pour arriver propre, propre à San Jose

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